13/05/2014 17:40

J'ai mal à mon histoire

Nous nous éteignons par dilution,

Nous scrapons nos illusions,

Nos rêves se durcissent,

Mais en vrai, on meurt crisse.


À coup de 50000,

Entassés dans la ville,

Comme de l'eau dans le vin,

Ils nous épurent de leur rouge vaccin.


Nous en oublions les patriotes,

Ou en faisons des anecdotes,

Que nous découvrons par visites guidées,

En lisant leur combat sur plaque stylisées.


Nous en perdons nos belles couleurs,

Et nous enlisons dans une autre noirceur,

Car notre lumière disparaît,

En continu, sans arrêt.

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